Monsieur le président, madame la ministre, messieurs les rapporteurs, mes chers collègues, La Bruyère écrivait : « Tout est dit, et l'on vient trop tard [… ]. » Trois siècles plus tard, songeant peut-être parfois au travail parlementaire, Michel Audiard nous rappelait que « c'est pas parce qu'on n'a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule ».