Ce que nous remettons en cause, ce sont les réalités des années 1945-50. Nous devons, en particulier, évaluer la pénibilité partout de la même façon. Nous ne nions pas le fait qu'il existe des tâches pénibles, mais nous souhaitons que tous les secteurs fassent l'objet de la même approche, dans un esprit d'humanité et d'égalité.
Alors oui, monsieur le député, votre hommage à Ambroise Croizat était justifié et je m'y associe.