La mutualisation, c'est un échec pour les élèves, qui ne sont pas suivis correctement, et pour les AESH, qu'on voue à faire un métier qui perd son sens.
En parlant d'échec, je dirai deux mots des élèves sourds. Vous laminez les instituts pour les jeunes sourds et les pôles éducatifs, les fameux PEJS, qui doivent les remplacer sont eux-mêmes quasi inexistants. Au vrai, ce sont plus de 10 000 jeunes et leurs familles laissés sur le carreau.