Il ne faudrait pas que cette loi soit vidée de l'essentiel, à savoir des dispositions relatives à l'enseignement. Le temps nous est compté : nous n'aurons pas trente-six occasions, cher monsieur Kerlogot – par exemple. Il faut saisir cette occasion-là pour faire passer une belle et grande loi, qui portera le nom de Paul Molac et qui honorera notre assemblée !