Monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d'État, je ne peux qu'appeler votre attention : votre réforme suscite des inquiétudes légitimes ; entendez les oppositions ; entendez cette France qui gronde et ne veut pas de cette réforme ; reportez l'examen de ces textes pour nous permettre d'aboutir à une réforme construite et financée.