Nous attendent encore en effet l'hôpital public, la transition énergétique, les institutions ou encore la dépendance, et c'est la raison pour laquelle il est si regrettable de ralentir le débat parlementaire, a fortiori au moyen d'amendements répétitifs qui tournent en rond – qui ont fait l'objet de débats parfois certes intéressants, mais d'autres fois totalement ennuyeux – , des amendements venus d'une opposition qui a au fond renoncé à être force de propositions pour se faire seulement spécialiste de la monoculture de l'obstruction.