Je veux évidemment soutenir l'amendement de Valérie Rabault. Contrairement à ce qu'a dit Mme de Montchalin, nous ne vous reprochons pas, en ayant pris ce décret d'avance, de vouloir remettre la France sur les clous, mais nous critiquons le fait que vous annuliez 300 millions d'euros de crédits destinés au soutien à l'investissement des collectivités locales ou à des mesures inscrites dans la politique de la ville.