Ils chercheront, par la capitalisation, le moyen de compenser le manque à gagner. D'ailleurs, vous avez vu la communication du groupe Axa : celui-ci fait la promotion de votre loi, en se réjouissant de l'ouverture, dès demain, d'un marché qu'il évalue à 140 milliards, conscient que le privé compensera les pertes non seulement des plus riches, mais de tous les Français qui verront leur pension baisser et qui, compte tenu de l'évolution de l'âge d'équilibre, ne pourront pas savoir ce qu'ils gagneront demain. Dans l'incertitude, ces derniers n'auront pas d'autre solution que d'épargner, offrant ainsi au privé un marché juteux.