Nous avons droit à un mensonge permanent. Quand on entrera dans le détail, en examinant chaque article, on s'en s'apercevra d'autant plus. Ainsi, à la page 185 de l'étude d'impact, vous écrivez : « la majoration de pension pour enfants [… ] bénéficiait, en masses financières, principalement aux hommes ». Mais vous ne comptez pas les huit trimestres par enfant auxquels la mère a droit actuellement ; vous comptez uniquement le bonus de 10 % au titre du troisième enfant.
Il est tellement facile de faire de tels calculs en omettant la disparition des huit trimestres.