Monsieur le président, comme nos collègues de la majorité ont profité de leurs interventions pour aborder des questions de forme, je vais faire de même avant d'aborder le fond. On a connu dans cette auguste maison, en des temps où, comme beaucoup d'entre vous, je n'étais pas député, des heures d'obstruction, notamment lors de la privatisation de GDF, où plus de 130 000 amendements avaient été déposés.