Quand on m'a confié la mission de rapporteur sur le titre Ier, j'ai eu l'ambition de bien comprendre quels étaient ses tenants et ses aboutissants pour pouvoir répondre en éclairant au mieux les questions qui allaient m'être posées, sachant qu'il y a des sujets très techniques et qu'il est évidemment impossible à chacun des 577 députés de les appréhender toutes. J'ai eu la chance d'avoir à mes côtés des administrateurs qui ont fait un travail excellent pour m'expliquer et que je puisse vous retranscrire ce qu'il en est. J'ai essayé de m'y impliquer au mieux dans la phase du travail en commission.
Mais là, alors qu'il s'agit d'un amendement déposé par les membres du groupe Socialistes et apparentés et qui porte notamment sur le régime des orthophonistes, je dois donner un avis sur trente-sept sous-amendements qui vont des marins pêcheurs aux agriculteurs – qui ne sont pourtant pas des professions libérales – , en passant, après les éboueurs, par des questions sur le PIB.