… puisque d'un écart de salaire de 20 % résulte un écart de pension de 42 %.
Cela tient à ce que ce système ne permet pas que la pension reflète strictement la carrière : c'est l'une de ses limites. Comme vous avez pu le lire dans l'étude d'impact – même si vous en avez contesté la pertinence à plusieurs endroits, je sais que vous en avez reconnu l'intérêt à d'autres – , grâce à la réforme, la pension moyenne des futures retraitées progressera de 6 % à 13 % pour les générations 1980 et 1990, alors que celle des hommes sera inchangée pour la génération 1980 et progressera de seulement 6 % pour la génération 1990. La dynamique sera donc très positive pour les pensions des futures retraitées.
Madame Faucillon, pour être honnête, votre propos revenait sur un sujet déjà abordé.