et de manière de plus en plus nette.
C'est d'ailleurs dans ce contexte que nous avons vu émerger les assurances complémentaires et les produits d'épargne retraite que vous avez mentionnés, monsieur le secrétaire d'État. C'est parce que vous voulez soumettre les gens à ce monde, présenté comme inéluctable, obéissant à une loi naturelle, que vos propos sonnent faux lorsque vous employez les mots solidarité, universalité, répartition.