La commission de la défense n'a pas examiné cet amendement, mais j'aimerais formuler à son sujet quelques observations qui me paraissent importantes.
D'abord, l'amendement répond à une demande de l'armée de l'air, dont mon rapport fait d'ailleurs état.
Vous l'avez dit, mon cher collègue : la commande d'un Caracal destiné à remplacer celui des deux appareils détruits qui n'était pas réparable était prévue en 2017, mais elle n'a pas été effectuée, et le projet de loi de finances pour 2018 ne la prévoit pas non plus. Cette réduction temporaire de capacité pose problème, d'autant plus que l'on évoque la mobilité des forces spéciales.