Il rappelle, s'il en était besoin, que l'on ne gagne pas une guerre sans effort de guerre, ajoutant que « les cimetières militaires, s'ils pouvaient parler, nous le diraient ». Il considère que les données de l'équation n'ont guère évolué depuis juillet et son éviction.
L'ancien CEMA estime ainsi que « les arbitrages budgétaires pour la gestion du budget 2017 et [le] projet de loi de finances pour 2018 » ne peuvent, en l'état, « assurer la pérennité [de notre] modèle d'armée [de manière à] garantir la protection de la France et des Français, aujourd'hui et demain » – fermez le ban.