Je pense que c'est un problème qu'il faut absolument prendre en compte. On vérifie quand même que les DAAF sont présentes sur le terrain pour apporter des recommandations culturales, par rapport à une cartographie des sols qu'il faut connaître. C'est pourquoi des analyses de sol ont lieu. Les DAAF nous ont dit qu'ils avaient un budget pour mettre en oeuvre ces actions. C'est la raison pour laquelle ils n'ont pas sollicité les budgets du POSEI, car ils utilisent les compléments nationaux pour travailler sur ces questions.