Vous avez raison, se baser sur le volontariat présente l'avantage de devoir être convaincant pour arriver à la connaissance du sol. Mais encore faut-il que l'agriculteur se libère et ait envie de mesurer la qualité de son sol. Si les analyses montrent des contaminations, on pourra lui dire qu'il existe telle solution incitative pour qu'il puisse se reconvertir, trouver une solution adaptée. C'est là que la déclinaison du POSEI dans le détail pourrait être paramétrée dans le futur pour inviter les producteurs à lever les inhibitions par rapport à cette connaissance.