La question est simple mais porte sur une deuxième phase. La commission des toxiques pose-t-elle la question ? C'est l'interrogation de Snegaroff, qui alerte du fait qu'on ne sait pas. Il ne dit pas : « Je sais », il dit clairement : « Je ne sais pas ». Comme tout bon chercheur, il indique qu'il aurait besoin de quelques moyens financiers pour mener à bien ses études. Elles n'ont pas été menées parce qu'entre-temps, le chlodécone et le Kepone ayant disparu de la circulation, on ne se soucie plus de donner une suite à la demande de Snegaroff.