Le Professeur Belpomme avait adressé son rapport aux administrations centrales en juillet-août. Il intervient donc en septembre. On nous l'a renvoyé aussitôt pour avis. N'étant pas médecins, nous n'étions pas les personnes les mieux habilitées pour ce faire. Il y a eu visiblement une gêne au sein des administrations centrales. Ses propos étaient peut-être exagérés mais ils ont fait bouger les choses.
J'ai le souvenir d'avoir demandé en 2006, dans une commission de suivi du GEP, quelques moyens pour engager un stagiaire et de m'être fait traiter de mendiant. Je suis intervenu vigoureusement en disant que je ne pouvais pas laisser passer de pareilles choses. On m'a dit que j'aurais dû me taire face au directeur général.