Gilles Bloch, président-directeur général de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) :
Son étude montre qu'il y a un effet probable du chlordécone sur le cancer de la prostate, mais il ne met pas au jour une surincidence ou une surmortalité de l'ordre de un à deux ou de un à cinq. C'est quelque chose d'assez faible.