C'est la politique générale des registres. Ils ne sont pas exhaustifs : nous estimons qu'ils couvrent aujourd'hui 20 % de la population. Nous avons considéré, en 1983, que cela permettrait de faire les études, sachant que les populations sont très proches les unes des autres, et que, d'un point de vue épidémiologique, nous aurions suffisamment de renseignements pour avoir une vision précise de ce qu'il se passe en Guadeloupe. C'est ensuite le plan chlordécone I qui, compte tenu du sujet, a mis en place un registre supplémentaire spécifique pour traiter cette question.