Je ne peux vous parler que du schéma que j'ai apporté. Le principal intérêt d'une étude cas-témoins, c'est qu'elle peut être faite relativement vite. Ce n'est pas une étude de cohorte : si nous avons besoin de beaucoup de personnes, nous n'avons pas besoin de beaucoup de temps pour l'analyser ; cela peut donc aller relativement vite. Je ne réponds qu'à cette partie de la question.
J'ai bien entendu le chemin dans lequel vous vouliez m'emmener mais nous avons eu l'impression, les uns et les autres, que toutes nos propositions étaient bien entendues. Il est normal que la direction générale de l'outre-mer et la direction générale de la santé vérifient qu'il n'y a pas deux ou trois sujets en doublon : c'est une partie de leur rôle. À aucun moment on ne m'a dit que l'on ne donnerait pas suite à cette démarche, d'autant que les budgets sont réels mais raisonnables. Toutefois, il est évident que l'Institut national du cancer ne pourra pas mener cela sans budget spécifique.