Je ne dis pas qu'il n'y a pas de grands risques, mais je dis qu'il y a un risque que nous devons explorer et quantifier : 92 % à 95 % de la population étant clairement imprégnée par le chlordécone, il est logique de surveiller de façon extrêmement attentive. C'est bien pour cela que nous donnons des consignes et que nous suivons ensemble ce qui est fait aux Antilles. Il n'est pas innocent que la personne nommée à la direction de l'Agence régionale de santé à la Martinique soit l'ancien responsable du pôle santé publique et soins de l'Institut national du cancer, Jérôme Viguier. Il y a une attention particulière.