Mais ces gens ont été exposés pendant toute la durée de fabrication. Il s'agit du même produit que le chlordécone. La conclusion de la commission de toxicité, en 1968, a été de classer le Kepone, en A, ce qui a justifié le refus de 1968. Puis, à la suite d'un déclassement de A en C en 1971, une autorisation provisoire a été accordée en 1972 ; le nom de la personne qui a demandé le déclassement est dans tous les documents. L'autorisation dite provisoire sera en fait renouvelée en 1976. Nous tentons d'y voir clair et de comprendre ce qu'il s'est passé pour expliciter les responsabilités des uns et des autres.