C'est plus compliqué… Nous avons des contacts avec le BRGM et le LDA26 – désormais appelé La Drôme laboratoire – et ils se heurtent à des difficultés liées aux coûts d'analyse. L'analyse d'échantillons fait désormais l'objet d'appels d'offres. La réponse financière des laboratoires ne s'intéresse donc généralement pas aux produits de dégradation. Les analyses sont organisées et les cartographies réalisées dans l'optique du moindre coût. Pour ce faire, on mesure uniquement le chlordécone.
En outre, le BRGM peut proposer de rechercher certains produits de dégradation, mais ils ne les possèdent pas tous, puisque nous sommes les seuls à disposer de tous les standards analytiques et donc à savoir détecter et analyser leur concentration.