Je ne sais pas si elle était suffisamment explicite dans le rapport de 2011, mais l'idée était que la gouvernance, le copilotage devaient être réels. Les parties prenantes antillaises devaient se saisir réellement de l'affaire et la gouvernance intégrer une expression du terrain qui demandait à être formalisée. Le problème est là : il faut que les parties prenantes s'organisent sous la forme d'associations, de groupes, qui puissent structurer le dialogue et participer à la gouvernance. J'ai une certaine distance avec la question dans la mesure où j'ai été missionné au titre de la recherche, mais il n'était pas tout à fait clair que ce fût le cas à l'époque.