Voilà un « pas grand-chose » qui arrangerait bien la situation de nos finances publiques – qui, il est vrai, ne sont pas à 8 ou 17 milliards d'euros près… On ne peut donc pas dire qu'il n'y a là que l'épaisseur du trait. Je ne sais pas si j'ai répondu à toutes les questions, mais nous aurons l'occasion de revenir sur ces sujets.
Monsieur Aubert, vous avez évoqué la question de la revalorisation du point. Peut-être étiez-vous absent lorsque nous l'avons indiqué, mais il est clairement écrit, dans l'article 55 ainsi que dans l'article 1er du projet de loi organique, que le point ne peut pas baisser moins que l'inflation. Si l'évolution liée au revenu devait être inférieure à l'inflation, alors le point suivrait la valeur de l'inflation. On ne peut faire évoluer les droits acquis moins vite que l'inflation.