Sur le fondement de l'article 100, alinéa 5, ainsi que de l'article 52 relatif à vos pouvoirs de police, monsieur le président, et de la jurisprudence du Conseil constitutionnel concernant la clarté et la sincérité des débats.
Le rapporteur général a affirmé que cette réforme ne remettrait aucunement en cause l'indépendance de la justice et la capacité des avocats à exercer leur métier librement.