Tout à l'heure, notre collègue Sylvain Waserman, vice-président de l'Assemblée, a évoqué le contrat social. J'ai le sentiment que, depuis deux ans, ce contrat social, vous le malmenez ! Depuis deux ans, vous tentez de réécrire le récit national de notre pays. Depuis deux ans, vous voulez faire autrement, coûte que coûte, en montrant beaucoup de dogmatisme, et tout cela conduit à une régression.
Cher collègue Thierry Benoit, qu'on ne fasse pas aux avocats le procès d'un contrat social à respecter, car ils contribuent chaque année à la solidarité nationale.