Certains propos me rappellent une petite musique que l'on entendait il y a quelques années. Les agriculteurs tenaient le même discours que les avocats aujourd'hui : on leur proposait d'être intégrés dans le régime général avec une cotisation à 28 %, mais, comme l'époque était florissante, ils ont choisi de conserver leur régime spécifique avec une cotisation à 14 % – à l'époque, il y avait trois ou quatre agriculteurs en activité pour financer la retraite d'un seul.