J'ai bien noté, monsieur le rapporteur, que vous entendiez tenir compte de la dangerosité du métier de marin-pêcheur. En outre, d'après M. Le Gac, les marins ont obtenu l'assurance que leurs particularités seraient prises en considération. Mais quand, comment et dans quelles conditions ? Nous n'en savons rien. Vous nous dites en substance : revenez dans douze à quinze mois quand nous aurons fini les négociations, nous aurons peut-être des réponses. Par ailleurs, vous nous demandez d'attendre l'examen de l'article 7, mais celui-ci prévoit, je le rappelle, une ordonnance.
Nous sommes en pleine crise du coronavirus, ce qui est, ma foi, assez anxiogène. Vous dites que nous sommes toujours contre tout ce que vous faites ; or j'en profite pour dire que, pour le moment, tout est bien géré par le Gouvernement.