Madame la présidente, monsieur le président de la commission des finances, madame la présidente de la commission des affaires sociales, monsieur le rapporteur de la commission des affaires sociales, monsieur le rapporteur pour avis, mesdames, messieurs les députés, je veux répondre à chacun des intervenants sur l'article, d'abord en observant que la répétition d'une contrevérité ne la transforme pas en vérité. Il n'y a ici aucun cavalier, quand bien même cela ferait plaisir à l'ancien maire de Chantilly…