En supprimant les régimes complémentaires de retraite, qui étaient gérés par les partenaires sociaux ou par les représentants des professions indépendantes, vous réduisez le champ des négociations sociales interprofessionnelles de branche, voire d'entreprise. Or, dans l'histoire, les partenaires sociaux ont mieux géré les régimes complémentaires que l'État n'a géré les régimes de base.