C'est le chant d'un pays qui refuse le libéralisme et espère la justice sociale ; c'est la parole d'un peuple qui convoque les élus à la barre pour rendre des comptes.
Cette motion pose à chacune et à chacun la question : cette réforme doit-elle être ainsi adoptée ? Le pouvoir doit-il continuer d'être ainsi exercé ? Le niveau de défiance, de crise auquel nous sommes parvenus appelle une prise de conscience, un changement, un renouveau social et démocratique. Ce gouvernement doit être censuré. Fin de cavale !