L'hôtellerie de luxe, fréquentée en grande partie par une clientèle d'affaires, fait partie des secteurs subissant de plein fouet les effets des épidémies de type SRAS, coronavirus ou grippe aviaire. La solution consistant à faire reposer l'intégralité du financement du dispositif de cette proposition de loi sur une taxation de l'hôtellerie de luxe me semble donc assez précaire.