Nous regarderons quelles leçons nous pouvons en tirer.
Ensuite nous définirons, secteur par secteur, les guides de bonnes pratiques – un certain nombre d'entre eux ont déjà été présentés par Muriel Pénicaud. Dans les jours qui viennent, nous devrons disposer de l'ensemble des guides de bonnes pratiques pour chaque secteur et chaque filière.
Et puis il faudra – là encore, Muriel Pénicaud y travaille avec les partenaires sociaux – établir un protocole national définissant les bonnes pratiques de base permettant de garantir retour au travail et sécurité sanitaire.
Sur ces bases, à partir du 11 mai, nous déterminerons, parmi les activités interdites en période de pandémie celles qui pourront reprendre.
Beaucoup de secteurs souhaitent reprendre leur activité après le 11 mai, mais cela nécessite des garanties de sécurité sanitaire. Prenons l'exemple des coiffeurs : nous allons vite retrouver la Gaule chevelue si les coiffeurs ne reprennent pas leur activité dans les meilleurs délais ; j'aime beaucoup la Gaule chevelue, mais j'aime aussi beaucoup les coiffeurs et je crois qu'il serait bon de rouvrir les salons de coiffure !