Même avis que pour l'amendement précédent.
Madame Obono, contrairement à ce que vous avez affirmé, ma vision n'est pas celle d'une écologie de marché. En revanche, je suis guidé par une conviction : pendant la crise que nous traversons, aucun emploi ne doit être laissé sur le bord de la route. Or, si nous empêchons nos industries et nos entreprises de relever la tête, ces emplois seront perdus. Vous évoquez donc des sujets de relance, et non d'urgence.