Je voudrais tout d'abord saluer le travail accompli à la fois par le Gouvernement et par de nombreux députés, comme Valéria Faure-Muntian, Nadia Hai ou Marie-Christine Verdier-Jouclas, car, je le répète, il est plus difficile de mener une négociation fructueuse que de lever une taxe. D'ailleurs, la dernière fois qu'une disposition de cet ordre a été prise – c'était au cours du mandat de Nicolas Sarkozy – , les prélèvements sur la prévoyance et les complémentaires santé avaient certes permis de récolter 1 milliard d'euros, mais deux ans plus tard, nous avons dû payer la même somme à travers l'augmentation de nos cotisations.