Comme promis, je serai très bref et, en cohérence avec mes précédents propos sur la question des assurances, j'émets un avis défavorable sur ces deux amendements. Je suis néanmoins d'accord avec le président de la commission des finances : le secteur assurantiel a loupé le coche tant il a manqué de réactivité au début de la crise. Je rappelle que le Gouvernement a lancé des travaux avec ce secteur pour penser le régime de catastrophe sanitaire de demain et imaginer un mécanisme de primes pour couvrir ce risque.