Cet amendement de notre collègue Jérôme Nury vise à tirer la sonnette d'alarme concernant la filière équine. Celle-ci souffre énormément et fait face à des charges inchangées, parce que les chevaux sont là, qu'il faut continuer à les nourrir et que le personnel est également présent. En revanche, il n'y a plus aucune recette. Ce secteur ne peut donc être comparé à une activité sportive comme les autres. Il pourrait l'être avec la situation évoquée ce matin par le M. le ministre, qui a défendu un amendement du Gouvernement visant à soutenir les zoos, car ceux-ci accueillent des animaux et supportent donc toujours des dépenses d'alimentation et de personnel.
La filière équine fait donc face à une véritable difficulté, madame et monsieur les secrétaires d'État. Il vous est proposé de ramener à 5,5 % le taux de TVA s'appliquant à cette activité, afin de lui faciliter la vie pendant cette période cruciale.