Je tiens enfin à rassurer tous ceux qui s'inquiètent de ce que des amendements n'aient pas été adoptés. D'abord, le présent PLFR n'est pas le seul texte permettant de financer l'action de l'État : il faut compter avec les réserves du projet de loi de finances initial. Ensuite, dans le PLFR même figurent des crédits qui ne sont pas affectés et qui permettront de remplir les engagements pris par les ministres en ce qui concerne les droits des femmes et la protection des plus précaires. Nous avons les moyens de notre politique grâce au présent texte et grâce à la loi de finances initiale.