Je l'ai déjà dit à Axel Cruau : au-delà de la crise, notre responsabilité sera de réfléchir au jour d'après, même si nous sommes actuellement concentrés sur l'urgence. En outre, dans l'urgence, nous aurions besoin de solidarités européenne et mondiale, et elles ne sont pas au rendez-vous. Nous devons agir pour qu'elles le soient davantage.