À Abidjan, un centre de dépistage du coronavirus a été saccagé par un groupe de personnes qui craignaient d'y être contaminées, indice de l'immense défiance des populations africaines, dépourvues d'eau et de savon, même dans les capitales vis-à-vis de leurs dirigeants. Seule subsiste l'armée, malgré de faibles ressources, pour faire régner l'ordre. Êtes-vous en mesure d'assurer dans ces conditions la sécurité des expatriés restés en Afrique, monsieur le ministre ?
Quels retours avez-vous sur l'efficacité des mesures prises par les gouvernements en matière de santé, d'éducation et d'économie et sur leur degré d'acceptation par les populations ?
Qui pilotera les fonds du soutien financier apporté par l'Union européenne, et comment envisagez-vous de lutter contre la corruption dans leur utilisation ?