Nous avons déjà eu plusieurs fois l'occasion de discuter de cette question avec Mme Sage et, pour une fois, j'irai plutôt dans le sens de la rapporteure car les « langues de France » sont codifiées, notamment par le ministère de l'éducation nationale, leur nomenclature étant plus large : par exemple, le shimaoré n'est pas considéré comme une langue régionale mais fait partie des langues de France ce qui, comme tel, rend possible son enseignement.
Les « langues régionales » sont certes reconnues sur le plan constitutionnel mais cette formulation est au final plus floue.