Le Premier ministre a répondu hier qu'il allait sans doute demander aux assureurs de contribuer. Il est évident que le montant du fonds de solidarité sera plus élevé que ce qui était initialement prévu.
En dehors de leurs engagements au titre des indemnités journalières, les assureurs devront supporter les dépenses lies à l'assurance crédit : ils ont 20 milliards d'euros d'engagements à ce titre et ils ont le sentiment que la sinistralité sera beaucoup plus importante que d'habitude.