Il semblerait que le marché de l'assurance se soit retiré de l'assurance-crédit export et que l'État soit obligé d'abonder 5 milliards d'euros pour sécuriser les échanges commerciaux.
Par ailleurs, M. Pénet a cité le chiffre de 200 millions d'euros de primes pour perte d'exploitation versés par les professionnels ACPS. Avez-vous chiffré l'impact de vos pertes, en matière de primes, du fait des futures faillites ?
Enfin, pourquoi le système bancaire parvient-il à harmoniser ses politiques quand le marché de l'assurance n'y parvient pas ?