Nous discutons quotidiennement avec le Trésor, l'ACPR et le Gouvernement, lequel a très bien compris pourquoi nous ne pouvions couvrir les pertes d'exploitation quelles que soient leurs causes. C'est la raison pour laquelle nous avons très rapidement choisi d'abonder le fonds de solidarité : notre position consiste à laisser l'État décider quelles entreprises bénéficieront d'une aide. Les Allemands ont fait un autre choix, mais les versements ne concerneront que 73 000 contrats, pour un montant estimé de 500 millions d'euros, alors que nous versons pour notre part l'équivalent de 600 millions d'euros au fonds de solidarité.