Confirmez-vous que l'État ne cherchera pas à agréger des données individuelles pour établir des cartographies ? S'il souhaitait le faire, qui aurait la responsabilité du cloud et le contrôlerait ? Par ailleurs, la CNIL assurera-t-elle un contrôle extérieur du système ? Enfin, comment envisagez-vous concrètement l'application de la clause de « revoyure » avec le Parlement ?