Vous avez éclairé nos esprits tout en assombrissant notre humeur : nous avons pris la mesure de notre adversaire sournois, encore méconnu, protéiforme, dont nous percevons chaque jour un peu plus la nocivité. Nous avons bien compris qu'il n'existe ni précaution, ni recette, ni traitement miracle et qu'une prise de risque collective est nécessaire : nous devons continuer à vivre avec le virus. Merci de votre esprit de nuance et de votre humilité, qui devraient nous inciter à proscrire les appréciations à l'emporte-pièce. Je retiens que le pire n'est jamais sûr et que la vie est un risque à courir.