Il y a un paradoxe immense dans ce que vient de nous dire notre collègue Stéphane Peu, qui d'un côté décrit l'urgence et de l'autre refuse sa gestion à travers l'état d'urgence. Car c'est bien ce que nous vivons. Certes, notre système de santé a tenu. Certes, grâce à la mobilisation des soignants, grâce à la mobilisation de la nation entière, le pays est debout.